Vous êtes un rédacteur web SEO, un créateur de contenu, un blogueur ou bien simplement à la tête d’une entreprise et vous recherchez les meilleurs outils d’analyse et de suivi du SEO pour votre site internet ? Après une utilisation intensive de divers outils dans le cadre de mon activité de rédacteur web SEO, je vous propose de découvrir mon retour d’expérience sur ces précieux supports.
Certains sont payants, d’autres totalement gratuits et que vous soyez à la tête d’une agence de communication, webmaster, professionnel du SEO ou blogueur, il existe forcément un outil SEO adapté à votre utilisation.
Dans ce guide, je vous propose de passer en revue les meilleurs outils d’analyse et de suivi SEO du marché en 2020. SEMRUSH, SE Ranking, Cocolyze, Alyze, Yooda … voyons ensemble lequel est fait pour vous !
Ben & Ania sont deux aventuriers amoureux de la nature et passionnés par ce vaste monde qui nous entoure. Quand ils ne sont pas sur les sentiers de randonnées, par monts et par vaux, ils créent du contenu pour les entreprises qui font appel à leurs talents. En travaillant à distance, ils peuvent se permettre de voyager en continu. Pour ça, ils ont choisi Jolly-Jumper, un camping-car Hymer B534 de 1990. Découvrez leurs univers faits de sommets enneigés, de treks loin de la 4G et de feux de camps bien arrosés. Pour ne rien louper, suivez leurs aventures sur ce blog ou via leurs réseaux sociaux !
Cet article a été rédigé en mai 2020. Il relate ma première année en tant que freelance. Découvrez désormais la page dédiée à nos services de création de contenu. J’ai volontairement laissé l’article tel qu’il a été rédigé, pour que cela puisse servir à tous ceux qui souhaitent se lancer.
Voilà, cela fait maintenant un petit peu plus d’un an que j’exerce en freelance dans le secteur de la rédaction web SEO. Le moment est donc venu pour dresser le bilan. Le métier de rédacteur web est assez vaste. S’il est souvent réduit au rang d’auteur d’articles de blog ou de fiches produits, je me considère davantage comme un créateur de contenu. Tout simplement parce que je touche un petit peu à toutes les variantes du métier. Mes missions sont donc nombreuses et impliquent : du storytelling, du copywriting, de la rédaction d’articles print pour des magazines et de la rédaction de contenu éditorial optimisé pour sites web et blogs dans le but d’augmenter le trafic. Pas mal pour un projet né à l’arrière d’un campervan au fin fond de la Nouvelle-Zélande non ?
Ben & Ania sont deux aventuriers amoureux de la nature et passionnés par ce vaste monde qui nous entoure. Quand ils ne sont pas sur les sentiers de randonnées, par monts et par vaux, ils créent du contenu pour les entreprises qui font appel à leurs talents. En travaillant à distance, ils peuvent se permettre de voyager en continu. Pour ça, ils ont choisi Jolly-Jumper, un camping-car Hymer B534 de 1990. Découvrez leurs univers faits de sommets enneigés, de treks loin de la 4G et de feux de camps bien arrosés. Pour ne rien louper, suivez leurs aventures sur ce blog ou via leurs réseaux sociaux !
En sortant de l’école d’architecture, tout content d’avoir terminé ses cinq années d’études minimum, il y a généralement deux cas de figure. D’abord, il y a ceux qui vont travailler en agence d’architecture. Parce que c’est une évidence pour eux et qu’à vrai dire c’est tout ce pourquoi on nous prépare. À côté, il y a ceux qui sont arrivés jusque-là parce que les études et le milieu les intéressent. Ils n’adhèrent pas nécessairement au travail en agence, qu’importe la raison. Et bien c’est mon cas, et après des premières années post études très variées en expériences, je vous raconte ma réalité de jeune diplômée en architecture, celle de l’auto-entreprenariat. Être architecte indépendant et junior, est-ce que c’est possible ? Dans quelles conditions ? À quoi est-ce que cela correspond d’être auto-entrepreneur dans l’architecture ?
Le grand saut dans le bain du monde du travail
Comme pour beaucoup de formations, le gap entre les études et le travail est immense en architecture. Sur les cinq années amenant au grade de master, les stages obligatoires ne représentent que 3,5 mois. Si on s’en tient à cela, il est évident que nous sommes loin d’avoir vu grand-chose du monde de l’architecture. Bien sûr, on peut multiplier les stages et expériences professionnelles, c’est d’ailleurs une excellente idée, seulement il faut pouvoir le faire.
Financièrement c’est loin d’être évident. Sachez en tout cas, s’il y a des étudiants parmi vous, que se contenter des seuls stages obligatoires vous désavantagera à la sortie de l’école. La concurrence est rude dès le départ. Une partie des études en alternance serait l’idéal pour mieux apprendre les métiers de l’architecture, mais c’est un autre sujet.
J’ai donc, comme tous, été catapultée dans le monde du travail en ayant l’impression d’être totalement novice en la matière. Et cette expérience n’était qu’un stage de fin d’études, que j’avais décidé de prolonger pour justement en découvrir davantage. Cela dit, ayant choisi une toute petite structure, je me suis vue confier des tâches auxquelles je n’étais pas prête et que, dans une grande agence d’architecture, on ne vous donne pas avant des années.
Cela a rendu l’expérience très enrichissante et intéressante. Lorsque la plupart des architectes juniors répètent les mêmes tâches quotidiennement au sein d’une agence, j’avais la chance de mener des projets avec indépendance, rencontrer des clients et bureaux d’études, etc. J’y ai donc appris beaucoup en peu de temps, mais peut-être y ai-je laissé quelques plumes. Quoi qu’il en soit, une fois mon stage terminé et validé, je déclinais leur proposition de collaboration en freelance et m’envolais pour l’Australie.
Pourquoi je me suis lancée en tant qu’auto entrepreneur freelance en architecture?
Après plus d’un an coupée de la France et de l’architecture, bien occupée à crapahuter au pays des kangourous, j’étais bien certaine d’une chose. Rentrer et postuler à des agences d’architecture était la dernière chose dont j’avais envie. D’abord, il y avait cette liberté à laquelle j’avais goûtée, par le voyage, que je ne voulais plus quitter.
La liberté de choisir mon ratio travail/temps libre, celle de ma situation géographique, et celle de ne répondre qu’à moi-même. Ensuite, il y a mon goût pour la nature et celui d’être dehors, je ne pouvais m’imaginer être enfermée dans des bureaux. Enfin, il y a mon éthique, ma vision de l’architecte et de l’impact de construire, que je ne retrouve généralement pas au sein d’une agence d’architecture classique.
Tout cela m’a conduite, fin 2018, à créer mon statut d’auto-entrepreneur en architecture. Pour plus de précisions sur les démarches à effectuer ou le type de missions auxquelles je réponds, je vous invite à consulter l’article sur mon parcours de dessinateur freelance et nomade digital. Cette solution répondait à mon mode de vie itinérant et m’a permis il faut le dire d’arrêter les petits boulots alimentaires pas toujours plaisants ! L’architecture était quand même un milieu que j’aimais, et je découvrais qu’il était possible d’être freelance avec un diplôme d’architecte.
Retour sur mon expérience en tant que dessinateur en architecture freelance
Si j’ai créé ma micro-entreprise en 2018, ayant déjà l’idée du statut d’auto-entrepreneur en tête, c’est en mai 2019 que j’ai réellement lancé mon activité. La crise du covid-19 est ensuite arrivée seulement 9 mois après avoir démarré sérieusement mon affaire. Je reviens donc ici sur les premiers mois, avant que la situation mondiale ne dégénère. Avec un peu de recul maintenant, et malgré avoir lu beaucoup à ce propos, je peux vous raconter les difficultés auxquelles j’ai été confrontée. De nombreux freelances sont également sujets à ce type de situation.
Les premières missions en freelance
Oui j’ai accepté des missions qui ne me réjouissaient pas plus que ça, d’autres où je ne me sentais pas des plus à l’aise. À ce sujet, je dirais qu’il faut savoir jauger ses limites. Il ne faut surtout pas tout accepter, mais attendre la mission parfaite n’est pas non plus la solution.
Pour vous donner un exemple concret, j’ai par exemple au tout début accepté une mission pour des plans d’installations Telecom. A priori, un secteur qui ne m’est pas familier. Seulement le client recherchait avant tout quelqu’un qui connaisse bien le logiciel Autocad. Alors après avoir discuté avec lui, il a pu rapidement me briefer et il s’est avéré qu’il n’y avait rien de très compliqué. Il m’a même recontacté ultérieurement pour d’autres missions.
Tout l’enjeu du freelance débutant est donc de trouver un bon compromis. Celui qui permet de booster son profil et gagner en popularité, mais sans s’égarer et risquer de ne pas bien répondre à la demande.
Tarif dessinateur freelance : proposer le prix juste
S’il y a une chose que j’ai longtemps trouvé difficile, c’est l’estimation juste de son travail en termes de prix. En tant que freelance, il faut savoir rapidement proposer un prix au client par rapport à son projet. Très souvent, on vous demande un devis sans vous communiquer d’informations concrètes. Vous n’avez que quelques bribes à propos de la mission. Et si vous avez le malheur d’en demander davantage, un autre auto-entrepreneur vous aura sans doute doublé.
Lorsque l’on démarre, on peut avoir tendance à brader son travail. On n’a pas vraiment confiance en soi, peu d’expérience et pour se démarquer de la concurrence on peut se dire qu’un tarif alléchant pourra amener des clients. Bien sûr, il y a toujours ceux qui cherchent à payer le moins possible, mais est-ce vraiment avec ces personnes que vous souhaitez travailler ?
Adapter son tarif aux conditions
Un freelance passe du temps à faire de la prospection, il n’a pas la sécurité de l’emploi, il paye des charges, et tout ça, il faut le prendre en compte dans sa tarification. Il ne faut donc surtout pas se baser sur le taux horaire d’un salarié. En plus de cela, il faut apprendre à évaluer le temps de travail. Pour cela, je ne suis pas vraiment fan des sites pour freelances qui fonctionnent avec le système de dépôt public de projet auquel il faut répondre immédiatement avec une proposition tarifaire.
J’essaie toujours de récolter un maximum d’informations sur les besoins du client afin d’établir un devis juste. Cela montre que je suis intéressée et impliquée pour bien répondre à sa demande. Bien sûr, certains choisiront d’accepter directement une proposition qui leur convient et c’est le jeu de la concurrence entre freelances. Votre tarifd’architecte indépendant ou dessinateur freelance doit vous permettre de vivre en tenant compte de toutes les contraintes du métier. Il faut alors considérer tous les éléments de la mission mais également votre comptabilité, prospection et le temps que vous passez à communiquer avec le client avant de démarrer.
Le privilège de pouvoir continuer à voyager tout en travaillant
Une des plus grandes satisfactions à exercer le métier de dessinateur en freelance est celle d’avoir pu combiner projet professionnel et personnel, entre autres le voyage au long cours. Vous êtes d’ailleurs beaucoup à nous contacter à ce propos. Pouvoir travailler tout en explorant le monde, forcément cela en fait rêver plus d’un ! Et même si ce n’est pas toujours évident de gérer l’équilibre entre travail et voyage, si les décalages horaires compliquent les contacts, nous sommes fiers et heureux d’avoir réussi notre pari.
Pour nous, passer nos journées dans un bureau et avoir une routine métro-boulot-dodo est juste impossible, c’est la dépression assurée. Être freelance et faire du télétravail nous permet d’être libres de notre situation géographique et la gestion de notre temps de travail nous appartient, et ça, ça n’a pas de prix.
Des moments compliqués dans la vie d’autoentrepreneur
Si nous sommes globalement contents et fiers de nos activités aujourd’hui, il n’empêche qu’il y a eu, pour chacun de nous deux, des périodes de doute et d’incertitude. Au lancement de son activité, on se demande si cela va fonctionner. Est-ce que les clients vont se montrer ? Va t-on trouver suffisamment de missions ? Puis au quotidien, il y a des moments où l’on n’est pas sûr de soi. Le doute s’installe et on ne peut compter sur personne. On est son propre maître. Il faudra assumer ses décisions seul. Il y a des semaines sans mission, sans rentrée d’argent, et on ne peut compter sur aucun chômage. Ou bien il y a ce projet parfait qui tombe au moment où vous n’aurez pas de réseau pendant 5 jours…
Être dessinateur auto-entrepreneur, c’est déjà gérer beaucoup de problématiques, et si vous rajoutez à cela toute l’organisation et les imprévus du voyage, vous voyez le bazar. Alors oui, être un nomade digital ça peut être génial, mais non, on ne se contente pas de sortir l’ordi en sirotant une noix de coco sur la plage, sachez-le.
Le covid-19 : reflet des limites du freelancing
Si vous avez lu notre article à propos de notre retour de voyage à cause du Covid-19, vous savez que nous avons dû mettre fin brutalement à nos pérégrinations à cause du Coronavirus. Cette période difficile, qui n’est pas vraiment révolue, a sérieusement mis à mal notre quotidien, comme pour la plupart d’entre nous. Si Ben a pu continuer son activité à peu près sereinement, pour ma part c’était une tout autre histoire. En effet, lorsqu’on vous dit qu’être freelance, c’est ne pas avoir la sécurité de l’emploi, vous avez là un bon exemple.
Au tout début de la crise sanitaire, je n’ai pendant plus de deux mois, eu presque aucune rentrée d’argent. Heureusement, il y a eu les aides de l’État dédiées aux auto-entrepreneurs, une vraie chance dans cette situation. Le premier confinement n’a pour autant pas été une période d’inactivité. Entre le démarchage habituel, les recherches d’emploi et de longues réflexions quant à la suite, le cerveau a fusé dans tous les sens. Je crois que pour beaucoup, cette période a permis de prendre du recul sur sa situation et a pu faire naître de nouveaux projets. Avec notre retour brutal en France en prime, c’était l’occasion de repenser mon activité.
L’expérience des entretiens d’embauche en vue d’un contrat salarial en agence
Eh bien oui, aux grands maux les grands moyens. Étrangement, alors que les chantiers se sont arrêtés en France et qu’une crise économique éclatait, les architectes continuaient de travailler, et même de recruter ! A trois reprises donc, j’ai brisé ma routine de confinée pour me rendre à un entretien d’embauche auprès d’agences d’architecture. En pleine crise sanitaire, je ne comprenais pas bien pourquoi un entretien en visioconférence n’aurait pas suffi.
Après des dizaines de candidatures envoyées, j’étais contente qu’on puisse s’intéresser à mon profil. En discussion, cela n’a pourtant pas été évident. Avoir été dessinateur freelance en architecture pendant 1 an ½ ne valait pour ainsi dire pas grand-chose. Gérer son petit business tout en parcourant le monde non plus. Je savais bien que travailler en agence n’avait rien à voir, mais je ne pensais pas avoir autant de mal à faire valoir mon expérience en freelance. Sachez-le, car si votre but est d’intégrer une agence à long terme, mieux vaut ne pas partir comme moi sans un minimum d’expérience en agence au préalable. Pour ma part, ces entretiens m’ont fait voir à quel point être freelance me convenait. J’ai eu un peu de mal à me projeter chez eux.
Au-delà du mode de vie plus contraignant qu’engendre le salariat, j’apporte beaucoup d’importance à l’environnement de travail. Peut-être donc n’ai-je simplement pas ressenti que je pourrais me faire une place auprès de ces agences. Je ne ferme pas définitivement la porte au salariat, mais n’envisage pour le moment pas de quitter mon activité en tant qu’indépendant.
Continuer d’exercer en tant qu’auto entrepreneur
Bien que la crise du Covid ait fortement impacté mon travail sur plusieurs mois, je ne perdais pas espoir. L’activité reprenait peu à peu et dès le mois de septembre 2019 je sentais une nette amélioration de la situation. Hébergés chez notre famille depuis notre retour précipité en France, nous avons pu à ce moment là nous installer sereinement.
Nous avons donc continué chacun notre activité, et l’essor du télétravail semblait être plutôt prometteur pour les affaires. De nouveaux profils de clients émergeaient de cette situation. Mais la crise sanitaire étant loin d’être terminée, je préférais assurer mes arrières. J’ai ainsi commencé à travailler pour un bureau d’études, et l’ingénieur avait accepté que je travaille pour lui en freelance alors qu’il cherchait un employé. Il s’agissait d’un mi-temps donc cela me permettait de continuer mon activité de dessinatrice freelance tout en ayant l’assurance d’un revenu stable.
J’ai finalement arrêté ce mi-temps après deux mois car les missions devenaient de plus en plus nombreuses. Les confinements suivants n’ont heureusement pas trop impacté nos activités.
Dernières nouvelles sur mon activité de dessinatrice en architecture freelance
A l’heure actuelle, c’est à dire juillet 2021, les affaires ont bel et bien repris. Il y a eu bien eu quelques périodes moins productives, mais j’exerce désormais à plein temps dans cette activité de dessinatrice en architecture freelance. C’est aussi ça la réalité de freelance, il faut faire face à une instabilité.
Dans mes derniers articles, je vous présente deux découvertes : un logiciel qui représente selon moi la meilleure alternative à AutoCAD et un logiciel similaire à Archicad. Avec un budget d’auto-entrepreneur, il est très compliqué de dépenser des milliers d’euros dans des licences de logiciel chaque année. C’est pourquoi je me suis tournée vers les logiciels proposés par ZWFRANCE. J’ai ainsi adopté le logiciel DAO ZWCAD pour le dessin 2D et testé ARCHLine comme outil BIM de modélisation 3D.
N’hésitez pas à découvrir mes articles de présentation et à télécharger les versions d’essai gratuites des deux logiciels !
Voilà, comme vous pouvez le constater, il est possible d’être titulaire du diplôme d’architecte et auto entrepreneur malgré un statut de junior. Ce n’est pas rose tous les jours et il y a des périodes très difficiles. Mais le statut d’indépendant et la liberté qu’il procure n’ont pas de prix.
Et de votre côté, qu’est ce que la crise du Covid a changé dans votre vie professionnelle ? Vous êtes plutôt salariat ou freelance dans l’âme ? J’attends vos réactions avec impatience en commentaire. A bientôt !
Ben & Ania sont deux aventuriers amoureux de la nature et passionnés par ce vaste monde qui nous entoure. Quand ils ne sont pas sur les sentiers de randonnées, par monts et par vaux, ils créent du contenu pour les entreprises qui font appel à leurs talents. En travaillant à distance, ils peuvent se permettre de voyager en continu. Pour ça, ils ont choisi Jolly-Jumper, un camping-car Hymer B534 de 1990. Découvrez leurs univers faits de sommets enneigés, de treks loin de la 4G et de feux de camps bien arrosés. Pour ne rien louper, suivez leurs aventures sur ce blog ou via leurs réseaux sociaux !
Notre retour d’expérience après 6 mois de voyage en Nouvelle-Zélande est mitigé. Voici le bilan à la moitié de notre PVT, à la sortie de l’hiver.
Nous voici enfin au bout du tunnel. Après 4 mois à braver le froid, le vent et la pluie, les beaux jours commencent à pointer le bout de leur nez en Nouvelle-Zélande. Et pour être honnête, il était temps ! Après avoir passé deux ans en Australie sans subir de véritable hiver, je dois avouer que nous n’étions mentalement pas prêts. Alors que les arbres fleurissent et que la végétation revêt sa robe printanière, je vais vous raconter un peu le déroulement de notre hiver en Nouvelle-Zélande. C’est l’occasion, après déjà 6 mois dans le pays, de dresser un bilan de ce voyage en Nouvelle-Zélande.
Ben & Ania sont deux aventuriers amoureux de la nature et passionnés par ce vaste monde qui nous entoure. Quand ils ne sont pas sur les sentiers de randonnées, par monts et par vaux, ils créent du contenu pour les entreprises qui font appel à leurs talents. En travaillant à distance, ils peuvent se permettre de voyager en continu. Pour ça, ils ont choisi Jolly-Jumper, un camping-car Hymer B534 de 1990. Découvrez leurs univers faits de sommets enneigés, de treks loin de la 4G et de feux de camps bien arrosés. Pour ne rien louper, suivez leurs aventures sur ce blog ou via leurs réseaux sociaux !
Bienvenue à toutes et à tous sur ce premier article de notre blog de voyage relatant notre nouveau mode de vie : le nomadisme digital. Ici, on vous raconte comment nous avons réussi à devenir digital nomade et à travailler depuis partout dans le monde.
Ce blog s’adresse aux freelances et voyageurs francophones. Son but est de rassembler témoignages, articles, idées et conseils à propos du voyage et du nomadisme digital. Ania et moi sommes également des amoureux de la nature et fervents défenseurs de l’environnement. Par nos articles et nos photos, nous avons à coeur de sensibiliser nos lecteurs à la cause environnementale et à l’écologie raisonnée. Point d’extrémisme ou de grands discours moralisateurs ici. Enfin, ce blog de voyage également permet de parler de nos activités de rédacteuret d’architecte dessinateur en freelance. Elles nous permettent de vivre en suivant notre route. Vous vous intéressez au freelancing et souhaitez devenir digital nomade ? Notre récit devrait vous éclairer un peu sur le sujet !
Ben & Ania sont deux aventuriers amoureux de la nature et passionnés par ce vaste monde qui nous entoure. Quand ils ne sont pas sur les sentiers de randonnées, par monts et par vaux, ils créent du contenu pour les entreprises qui font appel à leurs talents. En travaillant à distance, ils peuvent se permettre de voyager en continu. Pour ça, ils ont choisi Jolly-Jumper, un camping-car Hymer B534 de 1990. Découvrez leurs univers faits de sommets enneigés, de treks loin de la 4G et de feux de camps bien arrosés. Pour ne rien louper, suivez leurs aventures sur ce blog ou via leurs réseaux sociaux !
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