Voyager au Cambodge hors des sentiers battus

Voyager au Cambodge hors des sentiers battus

Durant notre sĂ©jour d’un mois au Cambodge, nous avons essayĂ© de sortir au maximum des sentiers battus. Cela signifie que nous ne nous sommes pas Ă©ternisĂ©s sur les gros points d’intĂ©rĂȘt touristiques. Nous avons donc privilĂ©giĂ© les petits villages loin des foules et ne l’avons pas regrettĂ© un seul instant. Contact avec les locaux, dĂ©couverte de la nourriture typique (parfois un peu trop…) et paysages authentiques sans mise en scĂšne, sortir des sentiers battus au Cambodge vous promet de l’aventure et de l’émerveillement. Nous nous sommes laissĂ©s porter et avons voguĂ© au grĂšs des rencontres sans faire appel aux services d’un guide ou d’une agence de voyage. On vous embarque avec nous pour cette dĂ©couverte du Cambodge profond ?

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Retour de voyage Ă  cause du Coronavirus

Retour de voyage Ă  cause du Coronavirus

Nous y sommes. Trois ans de voyage au long cours interrompus en quelques minutes. Le rĂȘve d’une traversĂ©e de l’Asie d’est en ouest par les terres tombe Ă  l’eau. La dĂ©cision n’a vraiment pas Ă©tĂ© facile Ă  prendre. Il a fallu ĂȘtre rĂ©actif et faire un choix crucial. Dans ce nouvel article, je vous raconte pourquoi et comment nous avons entrepris ce retour de voyage anticipĂ© Ă  cause du Coronavirus le 19 mars 2020. (suite
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FrontiĂšre Vietnam Cambodge Ă  Ha Tien

FrontiĂšre Vietnam Cambodge Ă  Ha Tien

Un voyage sans avion implique des passages de frontiĂšres terrestres. Ils impliquent davantage de logistique que lorsque vous dĂ©barquez Ă  l’aĂ©roport et de se renseigner suffisamment pour les visas disponibles Ă  chacun des postes. La frontiĂšre Vietnam Cambodge que nous avons dĂ©cidĂ© de franchir est celle d’Ha Tien, au sud du pays. En venant du Vietnam, vous aurez la possibilitĂ© d’y obtenir un visa classique pour le Cambodge d’une durĂ©e d’un mois.
Comment traverser cette frontiĂšre ? Qu’en est-il de la corruption ? Quels sont les piĂšges Ă  Ă©viter ? Voici notre retour d’expĂ©rience sur le passage de la frontiĂšre Vietnam Cambodge Ă  Ha Tien.

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Voyage sans avion

Voyage sans avion

AprĂšs avoir fĂȘtĂ© mes 1000 jours en voyage fin dĂ©cembre et tout rĂ©cemment nos 2 ans de route ensemble, nous en profitons pour dresser ici le tableau de ce qui nous attend pour la suite. Ces 3 annĂ©es passĂ©es en OcĂ©anie nous ont donnĂ© beaucoup Ă  rĂ©flĂ©chir. Quelle chance de pouvoir sillonner la planĂšte grĂące Ă  notre passeport. Nous avons vraiment pu profiter de tous les aspects bĂ©nĂ©fiques qu’apporte le voyage. ConcrĂštement, cette Ă©popĂ©e nous a permis d’acquĂ©rir une ouverture sur le monde qui nous entoure sans prĂ©cĂ©dent, un enrichissement personnel immense et mĂȘme un changement de mode de vie.

Mais cela ne suffit pas, il nous faut dĂ©sormais un but. De cette remise en question est nĂ© notre nouveau projet : explorer l’Asie du Sud Est, nous diriger doucement vers la France et traverser la planĂšte sans avion.

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Le bilan carbone du voyageur et son impact sur l’environnement

Le bilan carbone du voyageur et son impact sur l’environnement

Seulement 3 % de la population mondiale effectue un sĂ©jour Ă  l’international au moins une fois par an. Il s’agit clairement d’un privilĂšge, auquel nous nous estimons extrĂȘmement chanceux de pouvoir prĂ©tendre. Il est en effet trĂšs facile pour nous autres occidentaux d’aller dĂ©couvrir un autre pays. Mais avec une biodiversitĂ© en chute libre, des records de tempĂ©ratures battus chaque annĂ©e et les glaciers qui reculent sans cesse, on se pose souvent la question. Le voyage est-il un danger ? Notre mode de vie est-il Ă©goĂŻste ?
Compte tenu de la situation du monde actuel, nous ne devons pas ĂȘtre les seuls Ă  y penser. À l’heure oĂč beaucoup font la course au plus grand nombre de pays visitĂ©s en un temps record pour quelques likes de plus, le monde s’effondre. Entre le rĂ©chauffement climatique, la pollution de tous les Ă©cosystĂšmes et l’ambiance gĂ©opolitique, il y a de quoi se faire du souci pour nous autres les routards. Surtout quand on sait que les rejets de gaz Ă  effet de serre provenant du tourisme sont en perpĂ©tuelle augmentation. EstimĂ© autour des 8 %, l’impact du voyage est donc non nĂ©gligeable. De ce fait, le paramĂštre conscience personnelle entre en jeu. Nous avons Ă©crit cet article en 2019, alors que nous Ă©tions encore en PVT en Nouvelle-ZĂ©lande. Il s’agit d’un visa d’un an (renouvelable selon les pays et sous certaines conditions). Aujourd’hui, nous avons dĂ©cidĂ© de ne plus prendre l’avion et de voyager uniquement par les terres, lentement.

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